Peu de temps après l’avoir rencontrée, Mireille a tenu à me montrer un grand album dans lequel elle a archivé des images de la rue.
Il y a en vrac des photographies de maraude, de cabanes, de squats, de silhouettes d’hommes, qu’elle a écoutés, encouragés, parfois accompagnés jusqu’au dernier souffle.
Etienne et Michaël reviennent souvent dans la conversation.